بسم الله الرحمان الرحيم و الصلاة و السلام على نبينا محمد


Introduction : Dans cet article, je vais réfuter la seconde ambiguïté soulevée par Majid Oukacha dans son ouvrage " 100 contradictions et erreurs scientifiques dans le Coran (selon lui) ". Comme à mon habitude, je commencerai par présenter son texte, puis je le réfuterai en détail afin de démontrer son manque de compréhension du Coran.


Voici le texte d'Oukacha :

" 2. Que signifie l’expression « nulle contrainte en religion » ? Dans le Coran, sourate 2 verset 256, Allah a donc affirmé qu’il n’y avait ► Nulle contrainte en religion ! [...] ◄. Dans l’absolu, je ne vois que deux sens possibles à cette expression coranique. Soit « nulle contrainte en religion » a pour sens « il ne faut pas contraindre les gens à se convertir à l’islam », soit « nulle contrainte en religion » a pour sens « l’islam n’impose aucune contrainte à ceux qui en sont les fidèles ». Comme nous l’avons vu dans la précédente démonstration, selon le Coran, Allah promet la violence sur terre et le feu de l’Enfer éternel à ceux qui ne croient pas en l’islam. On peut donc écarter l’idée que l’expression « nulle contrainte en religion » ait pour sens « il ne faut pas contraindre les gens à se convertir à l’islam ». Il est évident que la peur de subir le chantage, la violence ou la douleur par la guerre ou par l’Enfer est une forme de contrainte, exercée contre les incroyants, par Allah et tous ceux qui prêchent Ses menaces.

L’expression « nulle contrainte en religion » ne peut pas non plus avoir pour sens « l’islam n’impose aucune contrainte à ceux qui en sont les fidèles ». Les cinq Salats quotidiennes, entre autres, sont un devoir et non une pratique facultative pour Allah. Et les musulmans ne sont même pas libres de les pratiquer quand et comme ils le souhaitent, eux qui doivent par exemple accomplir leurs Salats à des horaires précis. Sourate 17 verset 78, Allah a ainsi dit sur un ton impératif ► Accomplis la Salat au déclin du soleil jusqu’à l’obscurité de la nuit [...] ◄. Et pour ce qui est de la manière, rappelons aussi que la Salat ne peut se pratiquer qu’en récitant des textes précis et après avoir accompli des ablutions codifiées. De même, pour Allah, le mois de Ramadan est un devoir imposé à tous ceux qui en ont la capacité physique et non une pratique facultative. Et à la contrainte alimentaire ponctuelle qui oblige les musulmans à ne pas manger ni boire tant que le soleil luit dans le ciel durant le mois de Ramadan, s’ajoutent les interdictions permanentes de manger du porc et de boire de l’alcool. Par conséquent, l’expression « nulle contrainte en religion » ne peut certainement pas signifier « l’islam n’impose aucune contrainte à ceux qui en sont les fidèles ».

Nous venons donc de voir successivement que, selon le Coran, Allah menace les incroyants par un chantage à la violence physique pré- et post-mortem, mais aussi qu’Il contraint les croyants à obtempérer à des devoirs et des interdits. Dès lors, la présence de l’expression « nulle contrainte en religion » dans le Coran semble aberrante. Soit Allah a plaisanté, soit Allah S’est trompé en affirmant qu’il n’y avait aucune contrainte en religion. À des degrés divers en termes de conséquences, Allah impose des contraintes aux incroyants et d’autres contraintes aux croyants." Oukacha, Majid. 100 contradictions et erreurs scientifiques dans le Coran (French Edition) (pp. 14-15).

Fin de citation


Réfutation de Majid Oukacha concernant le Verset suivant « Nulle contrainte en religion »

L'Expression Coranique « Nulle contrainte en religion » (لا إكراه في الدين), présente dans la Sourate 2, Verset 2561 , est un principe fondamental de l'Islam, dont le sens est clair pour tous les Savants Musulmans, tous les Musulmans et ce, depuis toujours.

Cependant, certains, comme Majid Oukacha, du haut de leur ignorance, s'interrogent sur sa signification, la trouvant potentiellement « aberrante » au vu d'autres Textes Coraniques qu'ils interprètent de manière erronée : c'est qu'ils ajoutent de l'ignorance à leur ignorance.

Le Prophète Mohammed paix sur Lui ne dit-il pas : " Certes, Allah élève des gens par ce Livre [le Coran], et en rabaisse d’autres. " Muslim

L'analyse de Majid Oukacha ignore le sens premier du Verset et le contexte général de la Foi et de la pratique en Islam.


Le sens premier : l'interdiction de la conversion forcée


Le sens le plus largement accepté et le plus évident de l'expression « Nulle contrainte en religion » est l'interdiction formelle de forcer quiconque à embrasser l'Islam.

Le Cheikh Othman el-Khamiss, qu'Allah Le Préserve, explique clairement cela dans l'une des ses interventions intitulée : ما معنى لا اكراه في الدين ؟ لا لا نجبر احدا على الدخول في الاسلام (Quelle est la signification de "Nulle contrainte en religion" ? Non, non, nous ne forçons personne à entrer dans l'Islam).

Il ajoute que l'on ne doit que « نبين له ونوضح لهم » (leur expliquer et leur clarifier l'Islam).

Pour illustrer ce principe, une expression revient souvent « الاسلام ما يحتاج مرتزقه » (l'Islam n'a pas besoin de mercenaires). Cela exprime l'idée que l'Islam, en tant que religion, est autosuffisant et n'a pas besoin de personnes agissant par intérêt personnel, corruption ou motifs mercenaires pour le défendre ou le propager. L'Islam ne veut pas d'hypocrites, mais uniquement des Croyants sincères...

Celui qui se convertit sous la contrainte par l'épée, par exemple, n'est pas considéré comme musulman, car une telle conversion n'est pas valide. Et c'est évidemment totalement illicite en Islam de forcer quelqu'un à se convertir. Il suffit de lire la Sîrah, la Vie du Prophète Mohammed paix sur Lui pour tout de suite comprendre que cette pratique, forcer les gens à se convertir, est totalement étranger à l'Islam.

Ce concept, comme vous les savez, est renforcé par d'autres versets coraniques qui soulignent la liberté de choix et la responsabilité individuelle face à la Foi.

Allah Le Sublime Dit : « Et dis : "La vérité émane de votre Seigneur. Que celui qui veut croire croie, et que celui qui veut mécroire mécroie." » Sourate Al-Kahf (18:29).

Et : « Quiconque est guidé, c’est pour lui-même ; et quiconque s’égare, c’est à son détriment. Aucune âme ne portera le fardeau d’une autre. " Sourate Al-Isra (17:15).

L'idée qu'on ne peut pas forcer la Foi est évidemment ancrée dans la doctrine Islamique depuis toujours ce qui démontre que Majid Oukacha ne semble pas vraiment connaître l'Islam.

L'Islam reconnaît l'invalidité des actes accomplis sous la contrainte. Une conversion forcée, manquant de l'adhésion sincère du cœur, serait donc dépourvue de valeur légale et spirituelle selon les principes mêmes de l'Ikrâh, c'est-à-dire de la contrainte.

L'étonnement de l'auteur face à la présence du Verset « nulle contrainte en religion » semble résulter d'une méconnaissance de ce sens fondamental et pourtant bien établi dans l'exégèse et la Jurisprudence Islamiques.

Ce n'est pas un sens que les musulmans découvrent ou pour lequel ils s'interrogent; il fait partie des principes de base enseignés.


Les Versets du Jihad : un contexte précis, pas une imposition de l'Islam


L'auteur Majid Oukacha suggère que les menaces divines (Enfer) ou la violence sur terre (guerre) constituent une forme de contrainte pour les non-croyants, rendant ainsi le Verset 2:256 « aberrant » selon lui.

Cette interprétation assimile les avertissements divins sur les conséquences de l'incroyance et les règles du combat en Islam (qui sont liées à des contextes précis comme une guerre entre deux nations par exemple) à une forme de conversion forcée.

Les Sources Musulmanes, n'en déplaise à Oukacha, réfutent l'idée que l'Islam ordonne de tuer les non-musulmans simplement pour leur mécréance....

Aucun Verset Coranique ni Hadith Prophétique authentique n’ordonne de tuer les Juifs ou les Chrétiens uniquement en raison de leur incroyance en l’Islam ou de leur appartenance religieuse. Les insinuations de Majid Oukacha à cet égard sont non seulement infondées, mais également profondément erronées, car elles ignorent les contextes historiques et les causes de Révélation (asbâb an-nuzûl) des Versets qu’il cite de manière sélective.

Loin de promouvoir la violence, le Coran établit des principes de coexistence et de justice, comme en témoigne le Verset : « Allah ne vous interdit pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous combattent pas à cause de votre religion » (Sourate Al-Mumtahana, 60:8).

Ladite " interprétation " d’Oukacha trahit une méconnaissance flagrante des contextes exégétiques et historiques des Versets qu’il présente comme des appels au meurtre.

Par exemple, les Versets liés à des situations de guerre, comme ceux de la Sourate At-Tawba (9), visent des cas spécifiques de trahison ou d’agression militaire, et non une condamnation générale des non-musulmans. Cette lecture biaisée révèle une approche superficielle, dénuée de rigueur intellectuelle, qui ne rend pas justice à la profondeur du Texte Coranique.

Il est regrettable que de telles assertions, fondées sur une ignorance des principes Islamiques et des méthodologies d’interprétation, contribuent à propager des malentendus sur une religion, l'Islam, qui prône la miséricorde, la sagesse et la responsabilité individuelle, comme le souligne la Sourate Al-Isra (17:15) : « Quiconque est guidé, c’est pour lui-même ; et quiconque s’égare, c’est à son détriment. »

L'imam Ibn Taymiyyah a même écrit un traité intitulé « تحريم قتلهم لمجرد كفرهم », c'est-à-dire : " La Prohibition de les tuer simplement pour leur incroyance " ce qui démontre que l'Islam est aux antipodes du sectarisme Kharidjite.

Le motif de la guerre en Islam n'est pas la mécréance elle-même, mais d'autres raisons comme la légitime défense par exemple.

Des exemples sont donnés : le Prophète (paix et bénédictions d'Allah sur Lui) a interdit de tuer les moines, les personnes âgées, les femmes, les malades, les enfants et les ouvriers.... Ces catégories, bien que non-musulmanes, ne sont pas tuées parce qu'elles ne participent pas au combat (dans le contexte du conflit évidemment)....

Les Versets souvent cités pour justifier la violence, comme ceux de la Sourate At-Tawbah (Versets 5 et 29), sont justement expliqués dans leur contexte. Le Verset 5 est présenté comme concernant ceux qui ont rompu leurs pactes et initié l'agression.... Le terme « قاتلوا » (qatilou, combattez) implique une lutte mutuelle entre deux forces équivalentes (مقاتلة على وزن مفاعلة)..., et non l'abattage de personnes sans défense comme ce qui se fait à Gaza avec ces milliers de bombes.

Immédiatement après le Verset 5 de Tawbah, le Verset 6 stipule : " Et si l’un des polythéistes te demande asile, accorde-le-lui afin qu’il entende la parole d’Allah, puis fais-le parvenir en lieu sûr. Cela, parce que ce sont des gens qui ne savent pas."

Cela démontre que l'option de la protection est offerte, ce qui contredit l'idée d'une tuerie aveugle ou d'une conversion forcée par la violence. Le contexte des versets de Tawbah est celui du combat contre des adversaires actifs, pas une campagne pour massacrer ou forcer la conversion de tous les non-musulmans....


Note : En propageant de telles affirmations, Majid Oukacha adopte une rhétorique proche de celle d’Éric Zemmour, qui frôle le discours de haine. En déformant le sens des Versets Coraniques et en ignorant leur contexte historique et exégétique, Oukacha contribue à alimenter des stéréotypes nuisibles et à attiser les préjugés contre l’Islam, au mépris des principes de justice et de coexistence prônés par le Coran, comme en témoigne la Sourate At-Tawba (9:6) : « Et si l’un des polythéistes te demande asile, accorde-le-lui afin qu’il entende la parole d’Allah, puis fais-le parvenir en lieu sûr. »


Ainsi, l'interprétation selon laquelle les Versets sur le combat imposent l'Islam par la force ne tient pas compte du contexte historique et des règles de guerre en Islam, qui distinguent les combattants des non-combattants et les agresseurs de ceux qui cherchent la paix ou l'asile.


Les contraintes pour les Musulmans : une épreuve sur le chemin du Paradis


Majid Oukacha, du haut de son ignorance du sens du Verset « Nulle contrainte en religion », rejette le fait que l'Islam n'impose aucune contrainte à ses fidèles mais l'Islam, ce Verset dit jamais cela. L’approche de Majid Oukacha, ici, est fallacieuse, car il prête à ce Verset un sens qu’il n’a pas, pour ensuite le contester sur la base de cette interprétation erronée. Cette méthode biaisée révèle une méconnaissance des principes exégétiques et déforme la véritable portée du Texte Coranique.

Il cite des exemples de devoirs comme les cinq prières (Salat) aux heures précises, les ablutions, le jeûne du Ramadan, et les interdictions alimentaires (porc, alcool). Il conclut que l'existence de ces obligations prouve qu'il y a bien des contraintes en Islam.

Il est vrai que l'Islam impose des devoirs et des interdictions à ceux qui s'y sont volontairement convertis. Cependant, considérer ces obligations comme une forme de « contrainte » similaire à un « chantage » ignore la nature de la vie présente en tant qu'épreuve et la valeur de la récompense promise, le Paradis.

Notre religion est fondamentalement bâtie sur la « الايمان بالغيب » (la Foi en l'Invisible). Les Piliers de la Foi (Foi en Allah, Ses Anges, Ses Livres, Ses Messagers, le Jour Dernier, le Destin) sont tous des aspects de l'invisible.

Cette Foi profonde en l'invisible est la première caractéristique des « المتقون » (les pieux, les Croyants), ceux qui sont guidés par le Coran.... La force de cette Foi en l'Invisible dans le cœur du Croyant produit les bonnes œuvres. Les obligations religieuses (comme la prière et le jeûne) et le respect des interdictions sont précisément ces bonnes œuvres requises....

Elles ne sont pas des contraintes arbitraires, mais des manifestations concrètes de la soumission volontaire à Allah Le Sublime, découlant de la Foi en l'Invisible et de l'espoir dans Sa récompense. La vie ici-bas est une épreuve. Le Paradis est décrit comme une « marchandise de grande valeur ». Pour l'atteindre, la Foi doit être sincère et mise à l'épreuve. Les obligations religieuses servent de test de cette Foi, de cette sincérité et de cette persévérance.

Ce n'est pas du chantage, mais un chemin clair défini pour atteindre un objectif précieux, exigeant des efforts et des sacrifices. Les Sources Musulmanes évoquent la fermeté et la patience des Vrais Croyants face aux épreuves extrêmes, résultant de leur forte Foi en l'Invisible et en la promesse divine.

Les obligations sont un engagement pris volontairement par le Croyant, comme un contrat symbolique avec Allah Le Très Haut : « C’est Toi Seul que nous adorons, et c’est de Toi Seul que nous implorons l’aide. » S1V5.

Une fois cet engagement pris, le Croyant s'y astreint par choix, dans l'espoir de la récompense éternelle.


Conclusion


En résumé, l'expression coranique « Nulle contrainte en religion » a un sens premier clair et fondamental en Islam : l'interdiction de forcer les gens à se convertir.

Ce sens est soutenu par la doctrine islamique de l'Ikrâh, qui invalide les actes accomplis sous la contrainte, y compris une conversion forcée.

L'interprétation des Versets du Jihad comme une imposition de l'Islam par la violence, ou une invitation à massacrer des non Musulmans, est une erreur qui ignore leur contexte historique et leurs règles spécifiques de combat.


Note : Le concept de Jihad est totalement étranger au terrorisme et aux significations fallacieuses que la propagande médiatique islamophobe cherche à lui attribuer. Loin d’être un appel à la violence aveugle, le jihad, dans son essence Coranique et Prophétique, englobe des efforts spirituels, moraux et, dans certains cas, défensifs, toujours encadrés par des principes éthiques stricts. En déformant ce concept, des discours comme celui de Majid Oukacha contribuent à alimenter les préjugés, ignorant des Versets tels que celui de la Sourate Al-Mumtahana (60:8) : « Allah ne vous interdit pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous combattent pas à cause de votre religion. »


Enfin, les obligations religieuses imposées aux musulmans ne sont pas une "contrainte" ou un "chantage", mais les exigences d'une vie vécue en soumission à Allah Le Sublime, des épreuves nécessaires pour tester la sincérité de la Foi et mériter l'accès au Paradis, une récompense de grande valeur pour laquelle le Croyant s'efforce volontairement.

L'étonnement de Majid Oukacha face au sens du verset 2:256 semble donc découler d'une compréhension superficielle ou erronée des principes Islamiques concernant la liberté de conscience (pour les non-croyants) et la nature de l'épreuve et de la récompense (pour les croyants).


Et pour conclure en beauté


Le Verset Coranique « Nulle contrainte en religion » (Sourate Al-Baqara, 2:256) est souvent cité pour souligner la liberté religieuse dans l'Islam. Voici quelques interprétations et paroles de Savants à ce sujet :

  1. Al-Tabari (m. 923) : Dans son exégèse (Tafsir), il explique que ce Verset signifie que Dieu n'a pas ordonné de forcer quiconque à adopter l'Islam. La Foi doit être un choix volontaire, car la contrainte ne produit pas une croyance sincère.
  2. Ibn Kathir (m. 1373) : Dans son commentaire, il indique que ce Verset interdit de contraindre les non-musulmans à se convertir, car l'Islam repose sur la conviction personnelle. Il mentionne que ce Verset fut révélé concernant des cas où des conversions forcées étaient envisagées, mais Dieu a clarifié que la Foi ne peut être imposée.
  3. Al-Qurtubi (m. 1273) : Il précise que ce Verset s'adresse aux musulmans pour leur rappeler que la guidance est entre les mains de Dieu. Forcer quelqu’un à se convertir serait contraire à la volonté divine, car la Foi doit venir du cœur.
  4. Fakhr al-Din al-Razi (m. 1209) : Dans son Tafsir, il argumente que la religion est une affaire de croyance intérieure et que la contrainte extérieure ne peut influencer la véritable adhésion spirituelle. Ce Verset établit la liberté de choix en matière de religion.
  5. Ibn Hajar al-Asqalani (m. 1449) : Il souligne que ce Verset reflète le principe de tolérance de l'Islam, interdisant toute forme de coercition religieuse.

Ces savants s'accordent sur le fait que le Verset promeut la liberté de croyance et interdit la contrainte dans les affaires religieuses, soulignant que la Foi authentique ne peut être imposée.

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