Réfutation d’Ali Babal : quand la haine remplace la pensée

Encore une fois, Ali Babal — fidèle à son style vulgaire et haineux — n’a rien trouvé de plus “profond” à dire que d’écrire :

« L’islam encourage à mettre le cul en l’air plutôt qu’à entreprendre, et donne plus de valeur à la mort qu’à la vie. »

Ce type de phrase, qui mélange obscénité, mépris et ignorance crasse, illustre parfaitement le niveau de ceux qui prétendent “critiquer” l’islam alors qu’ils ne connaissent ni sa langue, ni ses principes, ni son histoire. C'est ce profil qu'invite CNews et ce, alors que l'expression Musulmane est totalement prohibée : ça pose question !

🔹 1. Une vulgarité révélatrice d’un vide intellectuel

Quand un individu n’a plus d’arguments, il choisit la vulgarité.
Parler du Prophète ﷺ ou de la prière avec des termes obscènes montre simplement une haine maladive et une frustration profonde.
Car insulter ce que des millions de croyants pratiquent cinq fois par jour, ce n’est pas “critiquer” : c’est profaner.

Le Prophète ﷺ a dit :

« Le croyant n’est ni grossier, ni vulgaire, ni obscène. »
(Sunan al-Tirmidhî, 1977 – authentifié par al-Albânî)

Et ceux qui sombrent dans la vulgarité pour exister médiatiquement ne font que trahir leur propre misère morale.

🔹 2. L’islam valorise le travail, l’effort et l’entrepreneuriat

L’affirmation selon laquelle l’islam “décourage d’entreprendre” est fausse et ridicule.
Le Prophète ﷺ a dit :

« Personne ne mange une nourriture meilleure que celle qu’il a gagnée par le travail de ses mains. »
(Sahîh al-Bukhârî, 2072)

Et encore :

« Si le Jour du Jugement arrive alors qu’entre tes mains tu tiens une graine que tu peux planter avant l’Heure, plante-la. »
(Musnad Ahmad, 12491)

Ces paroles illustrent une philosophie de l’action, du travail utile, du développement et de la confiance en Dieu.
L’islam n’oppose jamais spiritualité et réussite matérielle : il les harmonise.

🔹 3. “Mettre le cul en l’air” ? Non, se prosterner humblement

Ce langage vulgaire montre à quel point ces gens sont coupés de la dignité spirituelle.
La prosternation en islam n’est pas une humiliation : c’est un acte d’humilité, de gratitude et de liberté intérieure.
Celui qui se prosterne réellement devant Dieu ne se prosternera jamais devant les puissants, les idoles ou l’argent.

L’islam enseigne la prosternation, mais aussi la droiture dans le commerce, la justice dans les contrats, la sincérité dans le travail.

🔹 4. L’islam ne glorifie pas la mort, mais la vie avec sens

Autre contre-vérité : prétendre que l’islam “donne plus de valeur à la mort qu’à la vie”.
L’islam enseigne que la vie est un dépôt sacré :

« Et ne tuez pas la vie qu’Allah a rendue sacrée, sauf en droit. »
(Coran 6:151)

La mort n’est glorifiée que lorsqu’elle survient dans la défense de la justice, de la foi, ou de la vie des innocents — jamais dans le nihilisme.
Mais ces nuances échappent aux esprits enfermés dans la haine.

🔹 5. Pourquoi il n’y a pas de “musulman” parmi les 500 fortunes françaises ?

La vraie réponse n’est pas religieuse, mais sociologique :

Les musulmans de France sont majoritairement issus de l’immigration ouvrière.
Ils ont été maintenus à l’écart de l’accès au capital, des grandes écoles et des réseaux financiers.
Malgré cela, de nombreux musulmans entreprennent, innovent, créent — dans le commerce, la tech, la santé, la recherche.

Le fait qu’ils ne figurent pas (encore) dans le classement des “500 fortunes” ne prouve rien, sinon la barrière sociale et le mépris de classe que ces pseudo-“libres penseurs” entretiennent.

🔹 Conclusion : de la haine à la décadence

Ali Babal ne représente ni la critique ni la raison : il incarne le dégoût de l’islam, recouvert d’une couche de vulgarité.
Ses phrases ne convainquent personne, mais elles flattent le public frustré qui confond grossièreté et courage.

On reconnaît les esprits faibles à leurs mots :
quand ils ne peuvent pas élever le débat, ils l’abaissent.