L'ancien kharidjite qui ne sait pas lire le Coran en Arabe et qui envoie du jambon par courrier à des Mosquées se donne une image de connaisseur !

Le mensonge des islamophobes sur le verset 65:4 — Quand l’ignorance devient arme

Depuis quelques années/mois, les mêmes visages circulent sur les réseaux et les plateaux: Majid Oukacha, Florence, Ali Babla, Vivi-Apostat, etc., et toute une clique d’autoproclamés “apostats” (en réalité des touristes de l'islam) se relayent pour marteler le même mensonge : “L’islam autoriserait le mariage avec des enfants impubères.”

Un mensonge grossier, dangereux, mais surtout révélateur d’une chose : leur méconnaissance totale des textes qu’ils prétendent “corriger”.

Ils brandissent le verset 4 de la sourate At-Talāq — “Et celles qui n’ont pas encore eu leurs règles…” — comme s’il s’agissait d’une permission de marier des fillettes. Or, comme l’explique avec clarté le cheikh ʿAbd al-Rahmān Dhākir, ce verset n’ordonne rien, ne prescrit rien, et ne concerne en rien le mariage. C’est un verset de droit matrimonial, qui traite du délai d’attente (‘iddah) qu’une femme doit respecter après un divorce, avant de pouvoir se remarier. Rien de plus.

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Ce que dit vraiment le verset

Le verset distingue trois catégories de femmes divorcées :

  1. Celles qui sont ménopausées (elles n’ont plus de règles) ;
  2. Celles qui n’ont jamais eu leurs règles (pour des raisons médicales ou physiologiques) ;
  3. Celles qui sont enceintes.

Et pour chacune, le Coran indique une durée précise de retraite légale avant remariage. Il ne s’agit pas d’une autorisation de mariage avant la puberté, mais d’une règle de calcul de délai après un mariage existant.

Les islamophobes ont donc transformé une simple indication juridique en prétexte de diffamation contre l’islam. Un détournement intellectuel, aussi malhonnête que ridicule.


L’explication scientifique et religieuse

Le cheikh Dhākir remet les pendules à l’heure : certaines femmes, bien que pubères et biologiquement développées, peuvent ne pas avoir encore leurs règles pour des raisons médicales connues — aménorrhée, kystes ovariens, trouble hormonal, etc. Cela existe, et les médecins le savent.

Le cheikh dit clairement :

“Beaucoup de filles atteignent la puberté, leur corps se développe — hanches, poitrine, voix — mais le sang des règles tarde à venir. Ces filles sont biologiquement adultes, mais n’ont pas encore eu leur premier cycle. Si une telle femme se marie et divorce, comment calcule-t-on sa ‘iddah ? Le Coran répond : trois mois. C’est tout. L’affaire est simple.”

Et il ajoute avec justesse :

“Les ennemis de l’islam n’aiment pas la simplicité. Ils préfèrent compliquer, tordre, falsifier. Ils veulent présenter le Coran comme un texte barbare, alors qu’il répond à une question pratique, sans ambiguïté.”

Un verset de justice, pas d’injustice

Ce verset montre au contraire la précision et la justice de la loi islamique : il prévoit tous les cas possibles pour éviter l’injustice envers les femmes divorcées. Le texte ne dit pas : “mariez vos filles avant leurs règles.”
Le texte dit : “Si une femme mariée — déjà mariée — n’a pas ses règles (pour une raison naturelle), voici comment on calcule son délai d’attente après divorce.” Ce n’est pas un appel au mariage des enfants, c’est une protection des droits des femmes.


Quand la haine remplace la raison

Le cheikh Dhākir a raison de dénoncer ces gens comme “faussement éclairés”.
Ceux qui s’autoproclament “apostats” ne sont en vérité que des faussaires intellectuels, prisonniers de leur haine. Leur objectif n’est pas d’expliquer, mais de salir. Leur arme n’est pas la science, mais la provocation.
Ils mentent sur le Coran parce que, tout simplement, ils n’ont ni foi, ni connaissance, ni honnêteté.


La vérité est simple

L’islam n’a jamais permis ni encouragé un mariage avant la puberté.
Le mariage suppose en Islam :

  • la maturité physique,
  • la capacité psychologique,
  • et le consentement libre.

Ces conditions sont indiscutables.
Le verset 65:4 n’est donc pas un texte sur le mariage, mais une règle post-maritale, concernant des cas rares et réels de femmes adultes n’ayant pas leurs règles.

Le cheikh conclut :

“L’affaire est simple. Seuls les malhonnêtes la compliquent. Le Coran n’a ordonné aucun mariage d’enfants. Montrez-moi un seul mot où Allah dit : mariez-les avant qu’elles aient leurs règles. Il n’y en a pas.”

Conclusion

Ce verset, loin d’être “pédophile” comme le prétend Vivi-Apostat et sa bande de trolls islamophobes, est un exemple de clarté et de justice divine.
Les vrais ignorants sont ceux qui le tordent pour nourrir la haine.
Le Coran répond à des cas concrets, avec sagesse, tandis que leurs lectures malveillantes visent à alimenter la peur.

L’islam protège, instruit et élève.
Eux, ils mentent, déforment et détruisent.
La vérité, comme l’a dit le cheikh, est simple — mais les haineux ne supportent pas la simplicité.

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